samedi 27 décembre 2008
dimanche 21 décembre 2008
samedi 20 décembre 2008
dimanche 7 décembre 2008
lundi 24 novembre 2008
lundi 17 novembre 2008
mardi 11 novembre 2008
mercredi 22 octobre 2008
mercredi 15 octobre 2008
mardi 14 octobre 2008
lundi 29 septembre 2008
Opéré pour une circoncision,on l'ampute du pénis!
*
L'Américain de 61 ans devait se faire circoncire pour des raisons médicales, mais son pénis aurait été amputé par le médecin alors que le patient était sous anesthésie.
*
Une plainte a été déposée à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital.
Les faits remontent à octobre dernier. Philip Seaton, un Américain de 61 ans, doit se faire opérer du pénis dans un hôpital du Kentucky. Plus exactement, l'homme doit se faire circoncire, pour des raisons médicales. Mais lorsque celui-ci se réveille, une tragique découverte l'attend : son pénis a été amputé.
Selon la plainte qu'il a déposé à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital où a eu lieu l'opération, Philip Seaton avait donné son accord pour une circoncision, mais pas pour que son pénis soit amputé, bien qu'un cancer ait été diagnostiqué.
"Des fois, vous avez une urgence et vous avez à le faire, mais le chirurgien pouvait très facilement le recoudre et lui dire "voilà les options que vous avez"", a expliqué l'avocat du plaignant à la chaîne de télévision locale WLKY. "La famille aurait alors dit qu'elle voulait l'avis d'un deuxième médecin." Pour l'heure, les accusés ne se sont pas encore exprimés.
Source:tf1
Connard
L'Américain de 61 ans devait se faire circoncire pour des raisons médicales, mais son pénis aurait été amputé par le médecin alors que le patient était sous anesthésie.
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Une plainte a été déposée à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital.
Les faits remontent à octobre dernier. Philip Seaton, un Américain de 61 ans, doit se faire opérer du pénis dans un hôpital du Kentucky. Plus exactement, l'homme doit se faire circoncire, pour des raisons médicales. Mais lorsque celui-ci se réveille, une tragique découverte l'attend : son pénis a été amputé.
Selon la plainte qu'il a déposé à l'encontre du chirurgien, de l'anesthésiste et de l'hôpital où a eu lieu l'opération, Philip Seaton avait donné son accord pour une circoncision, mais pas pour que son pénis soit amputé, bien qu'un cancer ait été diagnostiqué.
"Des fois, vous avez une urgence et vous avez à le faire, mais le chirurgien pouvait très facilement le recoudre et lui dire "voilà les options que vous avez"", a expliqué l'avocat du plaignant à la chaîne de télévision locale WLKY. "La famille aurait alors dit qu'elle voulait l'avis d'un deuxième médecin." Pour l'heure, les accusés ne se sont pas encore exprimés.
Source:tf1
Connard
vendredi 19 septembre 2008
mercredi 17 septembre 2008
Catapultage de crétins!
Video pour le moins insolite tant l'idée est stupide ^^ Vous allez découvrir plusieurs jeunes se faire catapulter au dessus d'une rivière :) Ca l'air vraiment excellent ... Moi je me verrais bien assis dans le châssis pour me faire catapulter à plusieurs mètres de hauts ^^ Ca doit déchirer un max ... autant pour l'adrénaline que pour le délire :)
Connard
Connard
Le skateur sans testicules!
Il se les fait briser net dans l'exercice de son sport qui ne sera plus son favoris dorénavant.
Connard
dimanche 14 septembre 2008
mardi 9 septembre 2008
Bernard Tapie était l'invité de RTL, ce matin, à 7h50.
Certains d'entre vous ont sans doute écouté cet entretien. Bernard Tapie s'exprimait à la veille de son audition par la commission des finances de l'Assemblée nationale. Les questions concernaient l'arbitrage rendu en sa faveur dans l'affaire Adidas, au terme duquel devrait lui être versé une indemnité de 285 millions d'euros, et les commentaires politiques suscités par cette décision.
On espère bien qu'aucun cadeaux ne lui sera fait, mis en cause dans plusieurs affaire, il en sort blanc, ce qui est bien si c'est la vérité, mais de là à ce que l'état, c'est à dire nous luis verse des centaines de millions d'euros et en plus des intérêts,NON!
L'interview a soudainement pris un tour plus vif quand j'ai interrogé Bernard Tapie sur les arbitres eux mêmes. Ils étaient trois, Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, Jean-Denis Bredin, avocat, et un magistrat, Pierre Estoup. En préparant notre rendez-vous, j'ai lu dans la presse que chacun des arbitres avait perçu 330.000 euros. Il m'a semblé légitime, puisqu'il s'agit d'un paiement qui sera finalement assumé par l'Etat, de vérifier auprès de Bernard Tapie que cette somme correspondant à la réalité.
Il a mal pris la question. Il y a vu l'expression d'une suscpicion, un biais pour tenter de disqualifier l'arbitrage. Du coup, il est devenu agressif, donnant ainsi du relief à un passage qui aurait dû être anodin.
Aussitôt les micros coupés, il s'est levé de fort mauvaise humeur. Bernard Tapie peut être très chaleureux, drôle et séduisant. Il peut aussi se montrer méchant, presque menaçant. La sortie du studio a donc été vive. Il a usé d'un mot à mon égard dont il a assuré, dans le feu de la discussion, qu'il aurait pu le dire au micro. Je le répète donc. "Vous êtes un connard", a-t-il lancé.
A tort peut-être, sans doute même, mais je ne vois rien de personnel dans l'épithète. On peut imaginer que Bernard Tapie vit sous pression depuis la sentence arbitrale. Il sent bien que l'ampleur même de la somme peut la rendre illégitime. 285 millions d'euros, plus, si l'on a bien compris, une centaine de millions à venir d'intérêts, cela fait beaucoup pour une opinion qui connait l'état des finances publiques et qui sait bien que l'ex homme d'affaires ne peut être rangé dans la catégorie des nécessiteux.
Evidemment, le ton est demeuré haut après avoir quitté le studio. Bernard Tapie disait des choses et j'en ai répondu d'autres. Le petit déjeuner a tourné court. La colère était là. Il en faudra sans doute peu pour que demain, à nouveau, elle affleure devant des députés qui ne lui feront sans doute aucun cadeau.
Connard
On espère bien qu'aucun cadeaux ne lui sera fait, mis en cause dans plusieurs affaire, il en sort blanc, ce qui est bien si c'est la vérité, mais de là à ce que l'état, c'est à dire nous luis verse des centaines de millions d'euros et en plus des intérêts,NON!
L'interview a soudainement pris un tour plus vif quand j'ai interrogé Bernard Tapie sur les arbitres eux mêmes. Ils étaient trois, Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, Jean-Denis Bredin, avocat, et un magistrat, Pierre Estoup. En préparant notre rendez-vous, j'ai lu dans la presse que chacun des arbitres avait perçu 330.000 euros. Il m'a semblé légitime, puisqu'il s'agit d'un paiement qui sera finalement assumé par l'Etat, de vérifier auprès de Bernard Tapie que cette somme correspondant à la réalité.
Il a mal pris la question. Il y a vu l'expression d'une suscpicion, un biais pour tenter de disqualifier l'arbitrage. Du coup, il est devenu agressif, donnant ainsi du relief à un passage qui aurait dû être anodin.
Aussitôt les micros coupés, il s'est levé de fort mauvaise humeur. Bernard Tapie peut être très chaleureux, drôle et séduisant. Il peut aussi se montrer méchant, presque menaçant. La sortie du studio a donc été vive. Il a usé d'un mot à mon égard dont il a assuré, dans le feu de la discussion, qu'il aurait pu le dire au micro. Je le répète donc. "Vous êtes un connard", a-t-il lancé.
A tort peut-être, sans doute même, mais je ne vois rien de personnel dans l'épithète. On peut imaginer que Bernard Tapie vit sous pression depuis la sentence arbitrale. Il sent bien que l'ampleur même de la somme peut la rendre illégitime. 285 millions d'euros, plus, si l'on a bien compris, une centaine de millions à venir d'intérêts, cela fait beaucoup pour une opinion qui connait l'état des finances publiques et qui sait bien que l'ex homme d'affaires ne peut être rangé dans la catégorie des nécessiteux.
Evidemment, le ton est demeuré haut après avoir quitté le studio. Bernard Tapie disait des choses et j'en ai répondu d'autres. Le petit déjeuner a tourné court. La colère était là. Il en faudra sans doute peu pour que demain, à nouveau, elle affleure devant des députés qui ne lui feront sans doute aucun cadeau.
Connard
lundi 8 septembre 2008
dimanche 7 septembre 2008
samedi 6 septembre 2008
Avoir une plus grosse que les autres...
Taman Sri Skudai, Malaisie - Un jeune homme âgé d'une vingtaine d'années qui voulait allonger son pénis avant sa nuit de noces s'est introduit un écrou dans l'urètre. N'ayant pu retirer l'objet, il a finalement dû être opéré.
Après être entré en érection, le jeune homme n'a pas réussi à retirer lui-même l'écrou coincé dans son pénis. Il a été pris en main par le personnel d'un établissement hospitalier du sud-ouest de l'état du Johor.
Les médecins de l'hôpital Sultanah Aminah ont finalement été contraints de l'opérer, retirant une partie de la peau de l'organe et drainant du sang afin de pouvoir atteindre et retirer l'écrou.
Le Dr. Daud Abdul Rahim, directeur de l'hôpital où l'homme a été soigné, a déclaré au journal The Star que le patient récupérait avant sa sortie programmée pour le dimanche 31 août dernier.
Connard
Après être entré en érection, le jeune homme n'a pas réussi à retirer lui-même l'écrou coincé dans son pénis. Il a été pris en main par le personnel d'un établissement hospitalier du sud-ouest de l'état du Johor.
Les médecins de l'hôpital Sultanah Aminah ont finalement été contraints de l'opérer, retirant une partie de la peau de l'organe et drainant du sang afin de pouvoir atteindre et retirer l'écrou.
Le Dr. Daud Abdul Rahim, directeur de l'hôpital où l'homme a été soigné, a déclaré au journal The Star que le patient récupérait avant sa sortie programmée pour le dimanche 31 août dernier.
Connard
vendredi 5 septembre 2008
BéBé obése
Ce jeune enfant de tout juste 11 mois pèse déjà un peu plus de 28 kilos !
il fait approximativement la taille d'un enfant de 8 ans !
Connard
il fait approximativement la taille d'un enfant de 8 ans !
Connard
jeudi 4 septembre 2008
Il s’agit d’une scène qui se déroule le 28 août dernier. Pendant le match de baseball des Philadelphia Phillies contre les Mets (New York), un jeune homme de 12 ans a tenté de rattraper une balle perdue par les joueurs.
Mauvaise idée, puisque le garçon s’est rapproché trop près du bord et s’est littéralement écrasé sur le terrain, en tombant de plusieurs mètres. L’enfant n’a pas été blessé mais a forcément été un peu choqué. Tout est bien qui finit bien : il est désormais une star et parlera bientôt de son expérience sur une grande chaîne américaine.
Connard
Mauvaise idée, puisque le garçon s’est rapproché trop près du bord et s’est littéralement écrasé sur le terrain, en tombant de plusieurs mètres. L’enfant n’a pas été blessé mais a forcément été un peu choqué. Tout est bien qui finit bien : il est désormais une star et parlera bientôt de son expérience sur une grande chaîne américaine.
Connard
Une des participantes aurait giflé un spectateur sans aucune raison apparente, et ce dernier ne se laissant pas faire, aurait répliqué avec un coup surpuissant, mettant presque K.O la jeune femme.
Malgré l'intervention de la sécurité, la bagarre générale s'installe et donne lieu à un grand moment de télévisons étrangère.
Connard
mercredi 3 septembre 2008
mardi 2 septembre 2008
Le chanteur est blessé par les critiques de ses détracteurs, et confie son amertume dans Paris Match.
Bénabar en a marre. Marre que Michel Fugain, et Benjamin Biolay (entre autres) tapent sur ses chansons, et son style. Dans le dernier Paris Match, en promotion pour son prochain album Infréquentable, il explique qu’il n’est pas "au dessus de tout ça".
"Les attaques me blessent, me foutent littéralement par terre. Je suis conscient qu’il y a des choses bien plus graves, bien plus importantes. Mais j’encaisse difficilement," confie-t-il.
Ce qui l’énerve le plus ? "Passer pour un énorme connard", qui soutiendrait par exemple la Chine avec sa chanson "Le dîner". "A la base, c’est une chanson sur un type qui n’a pas envie de sortir", tout simplement.
Mais il comprend Benjamin Biolay, qui doit être jaloux de son succès. "J’ai vendu plus de 1 million de disques en deux ans, son excellent dernier album n’a pas dépassé les 10 000. (...) Cela dit, j'essaie de le joindre depuis plusieurs mois pour discuter, tous mes messages sont restés sans réponse".
Benjamin Biolay, "débecté" par Bénabar doit avoir du mal à digérer le succès de l'interprète du "dîner", c'est sûr.
Bénabar en a marre. Marre que Michel Fugain, et Benjamin Biolay (entre autres) tapent sur ses chansons, et son style. Dans le dernier Paris Match, en promotion pour son prochain album Infréquentable, il explique qu’il n’est pas "au dessus de tout ça".
"Les attaques me blessent, me foutent littéralement par terre. Je suis conscient qu’il y a des choses bien plus graves, bien plus importantes. Mais j’encaisse difficilement," confie-t-il.
Ce qui l’énerve le plus ? "Passer pour un énorme connard", qui soutiendrait par exemple la Chine avec sa chanson "Le dîner". "A la base, c’est une chanson sur un type qui n’a pas envie de sortir", tout simplement.
Mais il comprend Benjamin Biolay, qui doit être jaloux de son succès. "J’ai vendu plus de 1 million de disques en deux ans, son excellent dernier album n’a pas dépassé les 10 000. (...) Cela dit, j'essaie de le joindre depuis plusieurs mois pour discuter, tous mes messages sont restés sans réponse".
Benjamin Biolay, "débecté" par Bénabar doit avoir du mal à digérer le succès de l'interprète du "dîner", c'est sûr.
L’élève de 11 ans l’avait traité de «connard», et le prof avait répondu par une gifle. A l’audience, au tribunal d’Avesnes- sur-Helpe (Nord), le procureur avait parlé de «déferlement de violence», mais il n’avait requis que 800 euros d’amende. José Laboureur, 49 ans, professeur de collège à Berlaimont (Nord) a été condamné, hier, à 500 euros d’amende. Dans la salle des pas perdus du tribunal, le Syndicat national des lycées et collèges (Snalc) distribue un communiqué pour se dire «déçu et indigné». La famille de l’élève avait demandé l’euro symbolique au titre du préjudice moral et 1653 euros, pour les frais d’inscription d’Alexandre dans le privé, jusqu’à sa troisième. La demande a été jugée irrecevable.
«Père de famille». José Laboureur, absent hier au tribunal, avait reconnu à l’audience (Libération du 26 juin) avoir jeté les affaires de l’élève par terre, le 28 janvier. L’élève lui avait demandé pourquoi il avait fait ça. «Parce que cela n’a pas été rangé», avait répondu l’enseignant. Souffle «moqueur et dédaigneux» de l’élève, le professeur l’avait poussé contre la porte «pour qu’il prenne conscience qu’il avait fait quelque chose d’incorrect». L’enfant l’avait alors traité de «connard», le professeur l’avait giflé. Puis il l’ «accompagnait fermement» vers son bureau et lui faisait écrire, puis lire à haute voix, une lettre d’excuses. «Ensuite, a dit l’enseignant à l’audience, j’ai dit aux élèves que, pour moi, l’incident était clos, qu’on n’en parlait plus. Me faire outrager comme cela ? Pour moi, j’ai réagi comme un père de famille.» L’après-midi même, le père de l’enfant s’était présenté au collège, puis au commissariat, dans son uniforme de gendarme. L’enseignant avait été placé en garde à vue et une plainte avait été déposée. José Laboureur est en arrêt maladie depuis cet épisode. On devrait savoir la semaine prochaine s’il fait appel. L’amende de 500 euros, est «une décision d’apaisement», assure l’avocat de la famille de l’enfant, Me Emmanuel Riglaire. «Le montant de l’amende importait peu. Ce qui compte, c’est que la justice a reconnu que ce n’était pas une gifle, mais une scène de violence, et que le professeur était allé beaucoup trop loin.» Il espère que «Monsieur Laboureur reprendra les cours, et redeviendra un homme tranquille, et pas un homme violent». En face, Me Jean-Marc Villesèche, avocat de l’enseignant, pense aussi que le jugement est «une décision symbolique, d’apaisement».
Ce n’est pas l’avis des enseignants venus soutenir leur collègue. Les deux syndicats enseignants présents auraient préféré la relaxe. «Il a été insulté. Son autorité a été remise en cause devant les autres élèves. Or, nous n’avons aucun moyen à notre disposition pour nous faire respecter. On nous demande de dialoguer avec les élèves. Les colles, ils ne les respectent pas. Les punitions, ils ne les respectent pas», assure Michèle Houel, du Snalc. Cette gifle était «un réflexe de père de famille, un acte réflexe. Moi, ça m’est arrivé, avec mes enfants».
Signal. Elle craint que ce jugement envoie le signal à certains élèves qu’«on a le droit de faire ce qu’on veut». Karine Boulonne, du Snesup, s’est dit «déçue qu’il y ait une sanction. J’ai moi aussi failli réagir très violemment il y a quelques années, et je comprends le professeur». Mais selon elle, c’est plutôt le système éducatif qui induit le pétage de plombs : «Les postes en moins, la hausse du nombre d’élèves, le fait que certains professeurs doivent se répartir sur plusieurs établissements augmentent la fatigue et le risque de réactions de ce genre. En plus, on affecte des enseignants sur des matières qui ne sont pas les leurs. Bien sûr que nous ne cautionnons pas la gifle. Mais je pense qu’on crée les conditions pour que ça arrive.»
Le pére est gendarme, moi qui en suit un ancien de l'air, vous le pére, vous étes un ....Connard
liberation
«Père de famille». José Laboureur, absent hier au tribunal, avait reconnu à l’audience (Libération du 26 juin) avoir jeté les affaires de l’élève par terre, le 28 janvier. L’élève lui avait demandé pourquoi il avait fait ça. «Parce que cela n’a pas été rangé», avait répondu l’enseignant. Souffle «moqueur et dédaigneux» de l’élève, le professeur l’avait poussé contre la porte «pour qu’il prenne conscience qu’il avait fait quelque chose d’incorrect». L’enfant l’avait alors traité de «connard», le professeur l’avait giflé. Puis il l’ «accompagnait fermement» vers son bureau et lui faisait écrire, puis lire à haute voix, une lettre d’excuses. «Ensuite, a dit l’enseignant à l’audience, j’ai dit aux élèves que, pour moi, l’incident était clos, qu’on n’en parlait plus. Me faire outrager comme cela ? Pour moi, j’ai réagi comme un père de famille.» L’après-midi même, le père de l’enfant s’était présenté au collège, puis au commissariat, dans son uniforme de gendarme. L’enseignant avait été placé en garde à vue et une plainte avait été déposée. José Laboureur est en arrêt maladie depuis cet épisode. On devrait savoir la semaine prochaine s’il fait appel. L’amende de 500 euros, est «une décision d’apaisement», assure l’avocat de la famille de l’enfant, Me Emmanuel Riglaire. «Le montant de l’amende importait peu. Ce qui compte, c’est que la justice a reconnu que ce n’était pas une gifle, mais une scène de violence, et que le professeur était allé beaucoup trop loin.» Il espère que «Monsieur Laboureur reprendra les cours, et redeviendra un homme tranquille, et pas un homme violent». En face, Me Jean-Marc Villesèche, avocat de l’enseignant, pense aussi que le jugement est «une décision symbolique, d’apaisement».
Ce n’est pas l’avis des enseignants venus soutenir leur collègue. Les deux syndicats enseignants présents auraient préféré la relaxe. «Il a été insulté. Son autorité a été remise en cause devant les autres élèves. Or, nous n’avons aucun moyen à notre disposition pour nous faire respecter. On nous demande de dialoguer avec les élèves. Les colles, ils ne les respectent pas. Les punitions, ils ne les respectent pas», assure Michèle Houel, du Snalc. Cette gifle était «un réflexe de père de famille, un acte réflexe. Moi, ça m’est arrivé, avec mes enfants».
Signal. Elle craint que ce jugement envoie le signal à certains élèves qu’«on a le droit de faire ce qu’on veut». Karine Boulonne, du Snesup, s’est dit «déçue qu’il y ait une sanction. J’ai moi aussi failli réagir très violemment il y a quelques années, et je comprends le professeur». Mais selon elle, c’est plutôt le système éducatif qui induit le pétage de plombs : «Les postes en moins, la hausse du nombre d’élèves, le fait que certains professeurs doivent se répartir sur plusieurs établissements augmentent la fatigue et le risque de réactions de ce genre. En plus, on affecte des enseignants sur des matières qui ne sont pas les leurs. Bien sûr que nous ne cautionnons pas la gifle. Mais je pense qu’on crée les conditions pour que ça arrive.»
Le pére est gendarme, moi qui en suit un ancien de l'air, vous le pére, vous étes un ....Connard
liberation
lundi 1 septembre 2008
GROS CONNARD
Il faut toujours se méfier des copains armés d'une cam car non content de vous emmerder sous la douche il le publie sur le web.
Connard